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"Les Petites Familles" est une entreprise créée il y a cinq ans par Aurélie Demontmarin et son associée Audrey Lagagne. Leur projet a abouti à l'ouverture de structures d'accueil pour jeunes enfants, offrant des services complets aux parents et enfants, notamment une micro-crèche, un centre de loisirs et divers services d'accompagnement à la parentalité. Les salariés de l'entreprise sont principalement des professionnels de la petite enfance et de l'animation, ainsi que du personnel administratif (communication – assistante de direction) en complément de la Direction.
Comment l’AST vous a accompagnés en 2023 ?
Cela a été très utile sur la partie documentation avec le document unique d’évaluation des risques professionnels, car quand on est une start-up, une jeune entreprise comme la nôtre, c’est quelque chose sur laquelle nous avons besoin d’être accompagnés. J’en avais quelques notions avant, mais cela reste quand même le saut dans le grand vide. Et puis c’est un métier ou les risques professionnels sont très importants. J’ai pu suivre les webinaires sur le document unique d’évaluation des risques et nous avons été suivis par une CPST pour la création de notre fiche d’entreprise. L’accompagnement a vraiment été top.
Quelles sont les mesures que vous avez mises en place depuis que vous êtes adhérent pour notre service de prévention et de santé au travail ? (Pour améliorer le bien-être des salariés)
Sur notre QVT, on a une intention très particulière portée sur l’aménagement de planning, notamment en micro crèche, on réduit les semaines à moins de 5 jours. Ensuite, les gros travaux de ménage sont réalisés par une entreprise externe. Cela parait anodin, mais cela change beaucoup de choses notamment sur les TMS. Il y a aussi tout ce qui est animation de pôles avec les responsables de pôles : Des jeux, des déjeuners, une animation d’équipe entre guillemets et puis de la formation. De la formation continue par un médecin, un ancien médecin scolaire. Et les formations individualisées.
Quelle est l’image de la santé au travail pour vous ?
J’avais déjà une super image de la santé au travail, je fais partie des personnes qui y croit, dur comme fer. Pour moi, c’est tellement important la médecine du travail : la prévention d’un burnout, d’une ambiance, d’une maladie chronique qui pourrait arriver. Avec toutes les responsabilités qu’ont aussi les médecins là-dedans; les employeurs ne peuvent pas seuls porter toutes ces responsabilités.
Qu’est-ce qui vous a marqué dans le suivi ?
Ce qui m’a marqué, c’est que l’AST est très disponible et réactive. Notre CPST qui nous accompagne connaissait bien notre secteur, c’était très agréable. Ce qui est moins le cas du médecin du travail. L’accompagnement sur le DUERP de qualité à mettre en avant et à industrialiser parce que nous n’avons pas le temps de le faire. C’est très chronophage, ça coûte cher aux entreprises et nous sommes trop petits. On demande la même chose à une petite structure comme à une grande, ce qui pose problèmes en termes de moyens disponibles pour réaliser le DUERP : nous aider avec des outils, cela me paraît être un des services indispensables. J’ai aussi apprécié d’avoir des actualités métiers, et des ateliers sur comment faire une campagne de prévention avec des outils.